Ces incertitudes sont liées à l’insécurité causée par l’activisme des groupes armés dans ces régions.
Selon Dénis Kadima, président de la Commission électorale nationale indépendante (Céni), l’organisation des élections dans ces territoires dépendra de l’amélioration de la situation sécuritaire. Il a souligné que la Céni est prête à déployer ses équipes et à enrôler les citoyens dans un délai de 10 jours si la situation sécuritaire s’améliore. Cependant, en raison de l’insécurité actuelle, la tenue des élections dans ces régions est incertaine.
La Céni a tout de même réservé des sièges pour ces territoires dans la répartition des sièges, démontrant ainsi sa préoccupation pour la situation dans ces régions. La Céni a également organisé des concertations dans le but de rassurer les parties prenantes quant à la crédibilité et à la transparence des prochaines élections.
La Rédaction