Le leadership de Félix Tshisekedi en République démocratique du Congo met en lumière les libertés fondamentales, ce qui représente une menace pour les régimes autoritaires voisins. Voilà qui explique les actes de déstabilisation, y compris les attaques contre les services de sécurité, dans le but d’affaiblir un régime qui consacre la fin de l’action de ceux qui pensaient s’éterniser dans l’aventurisme et le pillage des ressources du Congo.
Avec Félix Tshisekedi, la respiration de la démocratie congolaise met en valeur autant des libertés fondamentales, ce qui reste un facteur gênant, voire une menace pour des régimes autoritaires voisins de la République démocratique du Congo, à l’instar du régime de Kigali qui est loin de désarmer au jeu de la déstabilisation. Dans un tel jeu, se joignent des impérialistes profiteurs, voire des organisateurs du chaos, pour faire perdurer l’entreprise criminelle des pillages des ressources naturelles du pays.
Ainsi, les tirs croisés contre les services de sécurité, notamment les renseignements militaires (ex-DEMIAP), civils (ANR) ou encore ceux de la migration (DGM), n’ont qu’un seul objectif : descendre tout un régime qui a ravivé la flamme du patriotisme, consacrant sans doute un éveil populaire, comme jamais par le passé, pour non seulement défendre l’intégrité territoriale du pays, mais aussi protéger la RDC contre le cheval de Troie, ces infiltrés qui joueraient le jeu de l’ennemi afin de déstabiliser l’armature intérieure du pays.
Les Congolais sont aujourd’hui plus qu’éveillés et capables de parler d’une seule voix pour le Congo. Il est donc clair que la RDC de Félix Tshisekedi passe pour un modèle qui sonne le renouveau dans la région. Et une telle posture est clairement combattue. C’est une guerre ouverte sur plusieurs fronts, aussi bien militaire dans l’Est, économique, médiatique, etc.
L’évidence c’est que face à la détermination de la population rangée derrière son Président, des tentatives de fragilisation des services de sécurité, piliers de la sécurisation du pays, se multiplient, heureusement sans succès, notamment avec des tirs ciblés. L’ANR, l’Etat-major des renseignements militaires (ex-DEMIAP) et la direction générale des migrations (DGM) en font les frais. Tantôt, ils sont l’objet de fabrication de pièces pour ternir leur image, tantôt ces services font gratuitement l’objet de critiques sur leur composition, ou encore pour des faits non prouvés par des organisations pour des fins connues, etc., alors que ces services agissent avec efficacité et professionnalisme suivant le serment de loyauté à la République et à ses institutions.
Dans tous les cas, de l’expérience politique vécue depuis l’indépendance du pays à ce jour, l’appel de l’éveil patriotique du Président de la République à toute la nation, porte bien ses fruits. C’est dire que tous les plans de déstabilisation ne pourront tenir face à la détermination populaire. Et le Président de la République est plus que jamais à l’œuvre, grâce, notamment à ses services, pour la préservation de la souveraineté nationale en matière de défense et pour l’indépendance économique de la République, afin de doter l’État des moyens nécessaires à son action et de faire face aux nouveaux enjeux.
En clair, les tirs contre les services de sécurité visant dans le fond, le chef de l’État lui-même, ne sauraient ébranler la stratégie raisonnée par l’administration Tshisekedi afin de répondre à une exigence majeure : la préservation de la souveraineté nationale, dont la survie de la RDC en dépend.
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