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Kinshasa
30 juin, 2024 - 20:21:20
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Mois de la Femme : le ministère du Genre et l’ONU-Femme à pied d’œuvre

Les préparatifs du mois de la Femme ont constitué le point d’orgue des échanges entre la ministre du Genre, Famille et Enfant, Mireille Masangu Bibi Muloko et une délégation de l’ONU-Femme, lundi 19 février à Kinshasa.

Le chef de cette délégation, Adama Moussa, représentant résident de l’ONU- femme, en République démocratique du Congo, a fait savoir que les entretiens ont tourné, autour de la question de la prise en charge de la femme congolaise, en général, et, en particulier, du rapport de bonne collaboration entre le ministère du Genre et l’ONU femme, en RDC.

« Je venais juste rencontrer Mme la ministre pour lui présenter mes civilités, par ce que nous sommes en début d’année, présenter mes meilleurs vœux et surtout apprécier tous la collaboration que nous avons eu pendant l’année 2023 et souhaiter qu’en 2024, nous ayons les mêmes relations de collaborations.

L’autre élément, ce que nous sommes dans les préparatifs du mois de la Femme, car le mois de mars va commencer bientôt, il était extrêmement important de venir encore affirmer notre solidarité aux femmes de la RDC, que ça soit les femmes politiques, que ça soit les femmes affectées par la situation de conflit, que ça soit les femmes affectées par la situation humanitaire, il était important que nous venions dire de vive voix à la ministre que nous sommes solidaires ou véritablement engagés derrière les autorités nationales, pour apporter tout notre soutien », a-t-il déclaré avant d’ajouter : « Il était aussi important, parce que nous avons vu le lancement du mois de la femme qui a été effectué par son Excellence, surtout la sobriété avec laquelle qu’elle voudrait que cette fois que ça soit moins festive et que ça véritablement en solidarité à travers le port des habits noirs, pour nous c’est vraiment important ».

L’occasion faisant le larron, Adama Moussa a lancé un message de solidarité à toutes les femmes congolaises, en général, et, en particulier, celles vivant dans l’Est de la RDC, qui sont victimes des crimes perpétrés par les terroristes du M23, soutenus par l’armée rwandaise, dans cette partie du pays.

C. Ilunga

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