Kinshasa accueille, ce lundi 3 novembre, le lancement des Conversations nationales, un rendez-vous inédit orchestré par le ministère de l’Intérieur avec le soutien du SENAREC et du PNUD. Pendant quatre jours, plus d’une centaine de participants : gouverneurs, autorités locales, chefs coutumiers, experts en sécurité, représentants de la jeunesse et des femmes, ainsi que partenaires internationaux, se réunissent pour dessiner les contours d’une gouvernance locale renforcée et d’une prévention efficace de l’extrémisme violent. Ces assises, qui mêlent expertise technique et dialogue inclusif, visent à traduire la vision de la République en actions concrètes sur le terrain, avec l’élaboration d’un programme national de prévention et des initiatives adaptées aux réalités locales. L’objectif : consolider la paix dans les zones à risque et poser une étape supplémentaire vers une stabilité durable et inclusive.
Les Conversations nationales ont officiellement débuté ce lundi 3 novembre dans la capitale congolaise. Organisées par le ministère de l’Intérieur avec l’appui du SENAREC et du PNUD, ces assises se poursuivront jusqu’au 6 novembre 2025.
Plus d’une centaine de participants y prennent part, parmi lesquels des représentants du gouvernement, des gouverneurs, des autorités locales, des chefs coutumiers, des experts en sécurité, ainsi que des organisations de jeunes et de femmes et des partenaires internationaux. Selon les organisateurs, l’objectif est de renforcer la gouvernance locale, prévenir l’extrémisme violent et consolider la paix dans les zones à risque.
Dialogue inclusif et actions concrètes pour une paix durable
Ces assises visent à traduire le dialogue en actions concrètes. À l’agenda : l’élaboration d’un programme national de prévention de la violence et la définition de mesures adaptées aux réalités locales. L’approche privilégie l’inclusion et la concertation, associant les communautés locales aux décisions qui les concernent.
Selon les autorités, cette initiative s’inscrit dans une stratégie plus large de stabilité et de sécurité, mettant l’accent sur la coopération entre acteurs étatiques, société civile et partenaires internationaux. En favorisant la participation de tous les segments de la population, des chefs coutumiers aux jeunes et femmes, le gouvernement entend consolider un processus durable et inclusif pour la paix.
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