La douce quête du pouvoir et sa conservation éternelle ! L’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), parti au pouvoir, ne prend pas cette mission à la légère, bien au contraire. Avec la réélection de son candidat, c’est le moment de grandes visions, bien loin des tracas quotidiens du gouvernement. Et qui dit grandes visions, dit aussi stratégies futuristes mises en place par les cerveaux brillants de l’UDPS. Ainsi, quand le secrétaire général du parti décide subitement de renoncer à la course au deuxième fauteuil du perchoir de l’Assemblée nationale, au nom de la préservation du pouvoir, on comprend tout de suite où se situe la priorité.
Le parti présidentiel se prépare donc à toutes les éventualités pour s’assurer que sa vision ne se limite pas à de simples mandats présidentiels, mais bien au-delà. Les stratèges sont appelés à l’action, même si les premières secousses ne sont pas encore clairement ressenties. On parle déjà des turbulences politiques, mais espérons que les fondations sont assez solides pour résister à toute attaque contre la patrie. Car, finalement, au milieu de toutes ces manœuvres politiques, ce qui importe, c’est l’intérêt supérieur de la nation.
Prenons exemple de l’Afrique du Sud, où l’African National Congress (ANC) est solidement installé au pouvoir depuis 1994, défiant ainsi les lois du temps. Avec seulement dix ans de pouvoir à son actif à la fin de 2028, l’UDPS se mesurera-t-il à l’ANC ? Tout dépendra des tactiques politiques bien affûtées. Car, dans ce jeu de conservation et de conquête du pouvoir, la bataille s’annonce épique !
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