Les préjugés de l’opposition selon lesquels la Cour constitutionnelle était partiale et influencée par le pouvoir en place ont été réfutés par l’arrêt historique de la haute Cour qui a validé les candidatures de tous les candidats à la présidence.
Cependant, il est difficile de dire si tous les candidats sont prêts pour les élections. Car visiblement, l’opposition cherche maintenant à mettre la pression sur la Commission électorale nationale indépendante (CENI) afin d’obtenir un dialogue avant les élections. Certains candidats à la présidentielle appellent également ouvertement à ce dialogue. Le gouvernement, quant à lui, ne comprend pas les critiques contre le processus électoral et souhaite ne dialoguer que devant le peuple congolais le 20 décembre 2023.