L’attaque brutale contre la résidence du vice-Premier ministre Vital Kamerhe et le Palais de la nation, siège officiel du président Félix Tshisekedi, perpétrée par un commando dirigé par l’individu Christian Malanga, soulève de nombreuses questions troublantes. Malgré l’intervention rapide et efficace des forces de défense et de sécurité ayant réussi à neutraliser le cerveau de l’opération, l’opacité entourant cet événement exige une clarification urgente qui dépasse largement sa simple dimension sécuritaire.
Des esprits éclairés, comme Charles Kabuya, un analyste éminent des sphères politiques et économiques africaines, et un auteur réputé sur le développement du continent, considèrent cette attaque, en apparence meurtrière, comme révélatrice des failles de sécurité au sein de nos institutions nationales. Charles Kabuya et d’autres Congolais peinent à comprendre comment un assaut relativement aisé a pu être mené contre le Palais de la Nation, symbole de la Présidence de la République.
Ainsi, il est impératif de prendre des mesures concrètes, notamment en recentrant les missions des services de sécurité qui parfois s’éloignent de leur mission première.
Concernant la classe politique congolaise, souvent absorbée par les luttes de pouvoir et les postes influents, Charles Kabuya est d’avis que cette attaque doit servir de signal d’alarme quant à la nécessité de placer l’intérêt national au-dessus des querelles partisanes.
Enfin, l’auteur de la publication sur son compte X, intitulée “Ne jamais se reposer sur ses lauriers”, souligne que la vidéo montrant le chef du commando à bout de souffle doit rappeler à tous ceux qui nourrissent des fantasmes belliqueux et déconnectés de la réalité, notamment ceux de la diaspora, que la réalité dépasse la fiction et les ambitions politiques malveillantes ne peuvent être réalisées au détriment de la stabilité et du bien-être de la nation.
Infos27 inspiré par Charles Kabuya