À une semaine du verdict attendu dans le cadre du procès dit “des Forages”, Mike Kasenga Mulenga, en dépit de sa détention, continue de faire preuve de patriotisme et d’un engagement sans faille envers le développement national. Dirigeant du consortium Stever Construct, il a déjà permis la construction de plus de 170 stations de pompage et de traitement d’eau, équipées d’un système alimenté en énergie solaire, au bénéfice de milliers de Congolais dans plus de six provinces. Mieux encore, malgré les contraintes liées à sa situation, son entreprise a récemment finalisé le dédouanement de 10 conteneurs de matériel destiné à la construction de 200 nouvelles stations, dans le cadre de la deuxième phase du contrat signé avec le gouvernement. Un tel dynamisme démontre qu’il est injuste et contre-productif de maintenir en prison un partenaire stratégique engagé pour le bien-être des populations, particulièrement celles des zones périurbaines et rurales.
Le 22 janvier prochain, soit dans exactement une semaine, les vaillants juges de la Cour de cassation rendront leur verdict dans le cadre du procès dit “des Forages”, opposant le ministère public au consortium Stever Construct, dirigé par l’homme d’affaires Mike Kasenga Mulenga.
Avant même le verdict de ce procès, que ses avocats qualifient d’injustifié et de perte de temps, Mike Kasenga fait preuve de patriotisme en restant concentré sur le protocole d’accord qui le lie au gouvernement pour la construction de 1 000 stations de pompage et de traitement d’eau dans les zones périurbaines et rurales à travers l’ensemble du territoire national.
À ce jour, plus de 170 stations de forage ont déjà été construites, équipées d’un système de traitement et d’alimentation en énergie solaire, apportant un réel soulagement à des milliers d’habitants répartis dans plus de six provinces.
Plus de 10 containers déjà à Kinshasa pour la 2e phase du contrat
Depuis le lundi 13 janvier, Stever Construct a finalisé le dédouanement de 10 nouveaux conteneurs contenant du matériel destiné à la construction de 200 nouvelles stations de pompage et de traitement d’eau, dans le cadre de la deuxième phase du contrat. Cet effort devrait porter le nombre total de stations à 400 d’ici à la fin de l’année 2025.
Une véritable démonstration d’engagement de la part d’un entrepreneur nationaliste, que certains avaient tenté de discréditer.
D’où la question : à quel niveau se situe réellement le détournement tant clamé par une certaine opinion ? Un détournement que le ministère public lui-même a peiné à démontrer devant les juges de la Cour de cassation, malgré la présence des éminents avocats de la défense.
Par ailleurs, Mike Kasenga avait lui-même démontré que le retard dans l’exécution des travaux n’était aucunement imputable à Stever Construct Cameroun. Ce retard était plutôt dû aux services du ministère du Développement rural, qui ont tardé à fournir des indications précises sur les sites de construction des forages. Cette version a été soutenue par le collectif des avocats.
Tout cela démontre l’injustice qu’il y a à maintenir Mike Kasenga en prison.
Les juges de la Cour de cassation auraient tout intérêt à prononcer purement et simplement l’acquittement de cet entrepreneur patriote, partenaire stratégique du gouvernement, afin de lui permettre de poursuivre sans entraves la construction des stations de pompage et de traitement d’eau. Ces infrastructures auront un impact direct et positif sur des millions de Congolais, particulièrement ceux qui n’ont jamais eu accès aux services de la REGIDESO.
Toute autre décision serait contre-productive pour le bien-être social de la population. Elle constituerait également un manquement grave pour la justice congolaise, qui a le devoir moral de protéger et d’encourager les entrepreneurs nationaux. Ignorer cela reviendrait à favoriser l’ascension, déjà préoccupante, des investisseurs étrangers, lesquels, malgré leur contribution économique, n’aimeront jamais le Congo autant que les Congolais eux-mêmes.
Wait and see.
Infos27