Conformément à la loi, les candidats malheureux aux scrutins du 20 décembre disposaient de deux à trois jours pour déposer leurs contestations auprès de cette instance juridictionnelle, et certains ont obtenu gain de cause. Cette procédure légale permettra ainsi aux candidats n’ayant pas été d’accord avec les résultats proclamés le 31 décembre 2023 par Dénis Kadima de contester cela par la voie légale, qui est celle de saisir la justice.
Après le dépôt des contestations par les candidats auprès de cette instance juridictionnelle, interviendra la prononciation de la cour constitutionnelle, et quelques jours après, cette dernière donnera son appréciation sur les résultats publiés le 31 décembre 2023 par la Centrale Électorale dirigée par Dénis Kadima.
C. Ilunga