Les ingénieurs de la SNEL ont finalisé avec succès, le dimanche 25 août, la réparation du rotor du turbo-alternateur G25 d’Inga 2, un élément crucial pour la centrale. Grâce à des techniques avancées de soudage, cette intervention, assurant la robustesse et la durabilité du rotor, permettra à la production des centrales d’Inga 1 et 2 d’atteindre 1 200 mégawatts.
La Société Nationale d’Électricité (SNEL SA) de la République Démocratique du Congo a franchi une étape significative dans l’amélioration de la production électrique nationale. Ce progrès est le résultat d’un travail méticuleux mené par les ingénieurs de la SNEL, qui ont finalisé, le dimanche 25 août, la réparation du rotor du turbo-alternateur G25 d’Inga 2, un élément essentiel au fonctionnement optimal de la centrale hydroélectrique.
Le turbo-alternateur G25 joue un rôle central dans la production d’énergie des centrales d’Inga 1 et 2, contribuant de manière décisive à l’approvisionnement en électricité du pays. La réparation de son rotor, un composant complexe et délicat, nécessitait une intervention de haute précision. Les ingénieurs de la SNEL ont utilisé des techniques de soudage sous flux, une méthode avancée qui garantit non seulement la solidité des soudures, mais aussi la longévité du rotor, essentiel pour une production électrique stable et durable.
Grâce à cette intervention réussie, la capacité de production des centrales d’Inga 1 et 2 a été optimisée, atteignant désormais 1 200 mégawatts, sur une capacité installée de 1 775 mégawatts. Ce regain de performance est une réponse directe aux besoins croissants en électricité de la population et des industries du pays, particulièrement dans un contexte de développement économique soutenu.
Cette réussite technique et opérationnelle vient renforcer la confiance dans les capacités de la SNEL à maintenir et moderniser ses infrastructures pour garantir un approvisionnement énergétique fiable. Elle témoigne également de l’engagement résolu de la SNEL à jouer un rôle clé dans le développement durable du pays, en veillant à ce que les besoins énergétiques de la République Démocratique du Congo soient pleinement satisfaits, tout en anticipant les défis futurs.
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