Goma, bastion de la résistance, défie l’occupant ! Refusant la normalisation imposée par le M23 et ses commanditaires, la population de Goma s’érige en rempart contre l’oppression. En boycottant la reprise des cours et en paralysant l’administration, elle envoie un message sans équivoque : l’entreprise criminelle du Rwanda ne sait pas triompher de la détermination d’un peuple debout. Impuissantes face à cette résistance farouche, les forces rwandaises et leurs supplétifs du M23 s’abandonnent à la terreur, multipliant les assassinats ciblés. Dans la nuit du lundi 10 au mardi 11 février, une nouvelle atrocité a endeuillé Nyiragongo : un chef de groupement, son épouse et leurs quatre enfants ont été lâchement exécutés. Ces crimes abominables rappellent la véritable nature du M23 : un instrument d’oppression et de pillages au service d’une occupation étrangère.
Lundi 10 février devait marquer la reprise des cours à Goma, chef-lieu du Nord-Kivu, annoncée tambour battant par l’occupant et ses relais, mais la population en a décidé autrement. Parents et enseignants ont, d’une seule voix, opposé un refus catégorique à cette mascarade, affirmant haut et fort que pas d’écoles signifie pas d’administration. Goma résiste. Goma refuse de plier sous le joug d’une occupation illégitime qui veut instrumentaliser les services sociaux de base pour donner une illusion de normalité.
L’occupant, les forces rwandaises et les terroristes du M23/AFC, pensait qu’il suffisait de prendre la ville à coups de canons pour en faire une conquête définitive. Grave erreur. Une ville, ce n’est pas qu’un territoire, c’est une identité, un peuple, une âme résistante. Goma, ville martyre, est aussi une citadelle de la détermination nationale. En refusant la normalisation imposée par le M23 et son parrain rwandais, en rejetant l’administration de l’ennemi, les habitants de Goma prouvent que la soumission ne sera jamais une option. L’absence des élèves dans les écoles, le vide laissé dans les services publics, la paralysie générale ne sont pas des signes de faiblesse, mais bien les manifestations d’une stratégie de résistance.
L’illusion d’une administration sous occupation se heurte ainsi à une réalité implacable : là où le peuple ne suit pas, le pouvoir usurpé s’effondre. Cette posture courageuse met à nu l’imposture du pantin Corneille Nangaa et de ses commanditaires. Ces derniers voulaient présenter Goma comme une ville conquise, soumise à leur autorité illégitime. Or, chaque jour qui passe révèle l’échec patent de cette entreprise d’asservissement.
Dans leur impuissance, les forces rwandaises et les supplétifs du M23 répondent par la terreur. Des assassinats ciblés se multiplient. La nuit du lundi 10 au mardi 11 février a été marquée par une atrocité supplémentaire : un chef de groupement, son épouse et leurs quatre enfants ont été froidement exécutés à Nyiragongo. Ces crimes odieux viennent rappeler la nature véritable du M23, un instrument d’oppression au service d’une occupation étrangère.
Face à ce climat de méfiance et de rejet, l’occupant tente de sauver la face en intensifiant sa propagande. Mais les faits sont là : la population refuse de collaborer, l’administration peine à opérer, et les réseaux d’information clandestins démystifient les discours officiels imposés par la force. Ce boycott généralisé est une résistance à visage découvert, une preuve de courage qui honore Goma et toute la nation.
Le message envoyé par Goma est clair : aucun pouvoir ne peut s’imposer contre la volonté d’un peuple en quête de liberté. Pas d’écoles, pas d’administration, pas de collaboration avec l’ennemi. Cette stratégie désintégrera, à terme, toute la supercherie d’un pouvoir fantoche. Et chaque jour qui passe renforce la conviction que la RDC ne sera jamais dépossédée de ses terres, de son identité et de son avenir.
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