Dans un contexte mondial en constante évolution, où les échanges culturels redéfinissent les perspectives, la nécessité d’un dialogue ouvert sur la démocratie et l’État de droit se fait plus pressante que jamais. C’est dans cet esprit qu’une conférence-débat, sous le haut patronage du Président de la République, se tiendra le 26 mars à Kinshasa. Organisée par la Cour constitutionnelle de la République démocratique du Congo en partenariat avec l’Ambassade de Suisse, cet événement marquera un tournant dans l’exploration des concepts juridiques et des enjeux sociaux contemporains. Avec la participation de figures éminentes du droit et de l’académie, cette rencontre se veut un appel à l’engagement collectif pour renforcer les fondements d’une justice équitable et d’une démocratie vivante.
Dans un monde en perpétuelle mutation, où les frontières des idées et des valeurs s’effacent au gré des échanges culturels et des expériences partagées, la nécessité d’un dialogue ouvert et constructif devient plus pressante que jamais. C’est dans cet esprit que la Cour constitutionnelle de la République démocratique du Congo, en collaboration avec l’Ambassade de Suisse, organise le mercredi 26 mars à Kinshasa dans l’amphithéâtre de Fleuve Congo Hôtel, une conférence-débat sous le haut patronage du Président de la République, sur le thème essentiel de « Démocratie et État de droit ».
Cet événement marquera une étape significative dans l’exploration des conceptions divergentes du droit, non seulement en tant que système de règles, mais comme un vecteur d’émancipation et de justice sociale. Les deux notions, bien que souvent perçues comme des entités distinctes, sont en réalité indissociables. La démocratie ne peut véritablement s’épanouir que dans un cadre où l’État de droit est respecté, garantissant ainsi la protection des droits fondamentaux et l’égalité devant la loi.
La richesse de cette rencontre va également résider dans la diversité des intervenants qui, chacun dans leur domaine d’expertise, va apporter un éclairage unique sur les enjeux contemporains. Parmi eux, le président de la Haute Cour, Dieudonné Kamuleta Badibanga et Chasper Sarott, ainsi que les juges François Bokona et Sylvain Lumu de la Cour constitutionnelle.
De surcroît, les contributions académiques des professeurs Marcel Wetsh’Okonda, Didier Yangonzela, Kodjo Ndukuma et Kayamba Tshitshi Nduba enrichiront le débat de perspectives théoriques et pratiques essentielles.
Cette conférence ne se limite pas à une simple occasion de partage d’idées, mais constitue également le lancement des activités célébrant les dix ans de la Cour constitutionnelle. Un jalon important qui invite à la réflexion sur le chemin parcouru et sur les défis à venir. En effet, la dernière décennie a été marquée par des avancées significatives, mais aussi par des remises en question qui appellent à un renouveau des engagements en faveur de la justice et des droits des citoyens.
Ainsi, tous les acteurs de la société – juristes, universitaires, responsables politiques et citoyens – sont invités à se joindre à la Cour Constitutionnelle pour cet échange. Il ne s’agit pas seulement d’une conférence, mais d’un véritable appel à construire collectivement un droit au service de la justice et des peuples par des analyses et de propositions des solutions qui favoriseront un cadre démocratique robuste et un État de droit effectif.
Infos27