C’est un pas historique dans la reconnaissance du génocide commis en République démocratique du Congo. Lundi 10 novembre 2025, le ministre des Droits humains, Me Samuel Mbemba Kabuya, a annoncé devant la presse que, lors de la 85ᵉ session de la Commission Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples, deux résolutions majeures ont été adoptées : l’une par la société civile africaine, l’autre par la Commission elle-même, condamnant officiellement le génocide congolais. Selon le ministre, cette avancée est le fruit du plaidoyer mené par le président Félix Tshisekedi, appuyé par la Première Dame Denise Nyakero et la Première ministre Judith Suminwa. Me Mbemba a souligné que cette reconnaissance ouvre la voie à d’autres États et institutions pour briser le silence et soutenir les victimes, consolidant la position de la RDC comme acteur engagé dans la défense des droits humains sur le continent africain.
La lutte pour la reconnaissance du génocide congolais a franchi un jalon décisif. Lundi 10 novembre 2025, le ministre des Droits humains, Me Samuel Mbemba Kabuya, a tenu un point de presse pour annoncer que la société civile africaine et la Commission Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples ont adopté des résolutions reconnaissant et condamnant officiellement le génocide commis en République démocratique du Congo.
Cette victoire diplomatique et humanitaire, qualifiée d’historique par le ministre, est le fruit d’un plaidoyer stratégique orchestré par le président Félix Tshisekedi, soutenu par la Première Dame Denise Nyakero, qui milite pour l’indemnisation des victimes, et la coordination de la Première ministre Judith Suminwa. Le résultat démontre la capacité de la RDC à peser sur les instances africaines, en alliant diplomatie, mobilisation civique et leadership politique.
Implications politiques et humanitaires
Selon Me Mbemba, cette reconnaissance ne se limite pas à un acte symbolique. Elle constitue un signal fort pour les autres États africains et les institutions internationales : le silence face à l’injustice ne profite jamais aux victimes. La RDC, en obtenant cette validation officielle, met en lumière son rôle de défenseur des droits humains sur le continent, tout en consolidant sa diplomatie humanitaire et sa légitimité morale.
Analystes et acteurs de la société civile voient dans cette décision un levier pour encourager d’autres pays et organisations internationales à se prononcer, à réparer et à prévenir les crimes similaires. Sur le plan interne, elle renforce également le leadership du président Tshisekedi et de son gouvernement dans la protection des populations congolaises, affirmant que justice et reconnaissance sont au cœur de l’agenda national.
Cette avancée marque donc une étape clé dans la lutte contre l’impunité et rappelle que la mémoire des victimes et la reconnaissance des crimes sont des instruments essentiels de la paix et de la cohésion nationale.
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